Auteur : chirurgie-esthetique-tn-ad

L’opération du lifting partiel se concentre sur une petite partie du corps sans toucher aux autres. Elle est destinée principalement à traiter le relâchement de la peau.
Elle est effectuée couramment sur des personnes dont la tranche d’âge varie entre 40 et 50 ans, étant donné que leur peau est encore bien élastique et elle va se résorber rapidement après l’intervention. Par conséquent, le résultat obtenu sera meilleur et les risques sont minimes. Pour certains patients, le lifting partiel peut être effectué sous anesthésie locale. Le lifting partiel est une méthode conçue pour empêcher le processus du vieillissement.
Selon les chirurgiens, cette technique vise essentiellement à empêcher le processus naturel du vieillissement de la peau que de la rajeunir. Autrement dit, le but principal de cette intervention c’est de réduire les rides, ainsi que la perte de volume que de corriger un relâchement de la peau. Cependant, mieux vaut faire appel à un lifting total, qui est un acte chirurgical, pour traiter un relâchement cutané.

Combinaison de plusieurs techniques?

Quand il s’agit d’un lifting partiel, le recours à la chirurgie n’est pas nécessaire. Par conséquent, cette intervention se fait sans chirurgie. C’est pour cette raison que votre chirurgien peut combiner différentes méthodes comme le peeling qui vise principalement à favoriser la régénération des cellules.
Quant aux injections de produits de comblement (l’acide botulique et l’acide hyaluronique) et aux traitements au laser ou bien la photoréjuvénation. Ce sont des techniques qui peuvent être effectuées seules ou bien combinées les unes aux autres selon les besoins et l’attente de chaque patient.

Importance des soins pré-opératoires ?

À partir de votre première visite chez votre chirurgien, il va vous expliquer par détails comment il va procéder et les modalités de l’intervention. De plus, il va également vous indiquer quelques conseils utiles pour maximiser vos chances de la réussite de l’opération et afin de garantir un meilleur résultat.
Votre chirurgien doit impérativement vous prévenir des risques encourus tels que des troubles sensitifs, une paralysie, l’hématome et une perte de cheveux temporaire. Il va également vous donner un devis détaillé et une approbation éclairée que vous allez rapporter avec vous le jour de l’opération. Il faut fixer l’intervention au moins après 15 jours de la consultation préopératoire, et ceci pour laisser au patient un délai de réflexion.

Bienfaits du lifting partiel ?

Il va de soi que la durée de l’opération est plus courte qu’un lifting complet du visage, ainsi le temps d’anesthésie va être diminué. Votre chirurgien ne va pas retirer beaucoup de votre tissu cutané. Par contre, il va retirer une petite partie de votre peau sur une surface moins étendue. Un décollement de votre peau sera borné, ce qui va limiter les gonflements, ainsi que les troubles sensitifs et le risque d’hématome. Les suites opératoires sont bien évidemment plus courtes avec une durée variable allant d’une semaine à un mois dépendamment du cas traité. Par conséquent, rassurez-vous d’un meilleur résultat vu que les petites parties traitées ne risquent pas de transformer vos traits.

C’est à travers une ablation simple des grains de beauté sous anesthésie locale que le praticien va enlever complètement les grains de beauté. Puis, il va procéder soigneusement à vous faire débarrasser des grains de beauté à l’aide des fils résorbables.

Généralement, après avoir été opéré, vous allez remarquer que la cicatrice est un peu plus répandue que le grain de beauté lui-même. Mais, ça va disparaître peu à peu.

Quant à la deuxième technique, renommée « shaving ». L’opération se fait sous anesthésie locale. Le principe réside sur le fait de raser le grain de beauté en surface avec une lame, tout en sachant qu’il ne va pas être enlevé de façon complète et peut réapparaître pour certains cas traités.

Les dermatologues pratiquent cette méthode pour les patients dont les grains de beauté moins larges et sans risque. Tandis que pour les autres cas, autrement dit pour les patients dont les grains de beauté sont assez larges, cette méthode n’est pas conseillée vu que la cicatrice va former un creux. Sinon pour les autres, la méthode du shaving vous permet de remarquer cicatrice discrète ou pas de cicatrice.

Finalement, c’est en ayant recours à la méthode du laser que vous pouvez vous faire débarrasser des grains de beauté. Mais, cette technique de chirurgie esthétique est réservée aux personnes dont les grains de beauté ne présentent pas de risque.

Quels sont les grains de beauté à surveiller ?

Pour certains cas, ces grains de beauté sont impérativement à surveiller de près, étant donné que ça peut se transformer en mélanome. Généralement, il est conseillé de faire une visite de contrôle chez votre  dermatologue une fois annuellement par précaution. Cependant, ce dernier va faire le nécessaire afin d’éviter des conséquences imprévisibles par la suite.

Mieux vaut faire attention à la couleur de vos grains de beauté (noirs, bicolores), au cas leur taille se modifient soudainement ou lorsqu’ils auront subis des agressions telles qu’un rasage, un saignement. Sachez également que les personnes dont la peau est claire sont plus assujetties aux risques du cancer de la peau. Et pour les personnes dont le mélanome est héréditaire dans le cadre familial, c’est du pareil au même.

Les cicatrices des grains de beauté varient d’une personne à une autre ?

La cicatrisation des grains de beauté est variable d’une personne à une autre selon l’âge. Par exemple, les jeunes personnes dont la tranche d’âge est inférieure à 15 ans cicatrisent moins bien que les personnes âgées, étant donné que leur peau est plus raffermie.

Certaines parties du corps cicatrisent considérablement par rapport à d’autres parties comme la chirurgie de visage, les jambes et les bras. Par contre, au niveau du dos, du thorax et de l’épaule, les traces sont plus visibles d’une façon générale.

Finalement, la cicatrice va disparaître vite et le résultat sera stable en quelques mois seulement. Elle se fait sous anesthésie locale et elle est très peu douloureuse. Prenez soin de votre peau en la protégeant avec un écran total quand vous allez vous exposer au soleil.

Lors de votre consultation initiale avec votre chirurgien plastique, il vous questionne sur vos attentes de cette chirurgie. Vous devez être prêt à expliquer à votre médecin exactement ce que vous voulez en détails. Vous devez être conscient que le médecin est limité par les structures internes et externes du nez. Même si elles peuvent être améliorées pour donner l’apparence que vous souhaitez, sachez qu’un nouveau nez ne peut pas être crée.
Après que le médecin examine votre nez, il vous explique ce qui peut être fait pour donner le rendu dont vous aspirez. Si le médecin comprend parfaitement les résultats que vous souhaitez atteindre, il sera en mesure de vous dire si vos objectifs et vos attentes sont réalistes.

Les antécédents médicaux les plus importants à signaler

Il est important que vous disiez à votre médecin si vous avez déjà eu une blessure au niveau du nez ou tout type de chirurgie dans cette zone. Votre chirurgien plastique doit également être conscient des difficultés respiratoires ou des allergies que vous pourriez avoir. Si vous avez des pathologies ou des affections cardiaques, pulmonaires, ou une maladie du foie, une mauvaise circulation sanguine, le diabète, ou des antécédents de caillots de sang, vous êtes à un niveau risque plus élevé de complications. Il est essentiel que vous expliquiez vos antécédents médicaux en détails en parlant à votre médecin.

Les recommandations préopératoires

Pendant environ trois semaines avant la date de votre opération de chirurgie programmée, il est important que vous cessiez de fumer pour réduire le risque de complications. Il est recommandé aussi de ne pas continuer de fumer après votre chirurgie.
Vous devez également prendre des dispositions pour vous conduire à l’hôpital et de prendre soin de vous les premiers jours après la chirurgie. Votre médecin vous donnera une liste de médicaments, ceux-ci doivent être disposés avant votre chirurgie. Manger sain avant votre chirurgie est toujours une bonne idée. Nourrir votre corps par les bons nutriments et les vitamines aide à s’adapter aux changements ainsi qu’à la bonne récupération. L’eau est également très importante. Vous devez rester hydraté avant et après la chirurgie.

Qu’elle apparaisse à l’adolescence ou à l’âge adulte l’acné peut laisser des cicatrices sur le visage pour la plupart des personnes concernées surtout si les boutons sont malmenés ou percés.

Plus le traitement de l’acné est tardif plus les risques de cicatrices sont importants. Celui-ci consiste en plusieurs traitements esthétiques qui vous garantissent une peau plus lisse et plus homogène.

Choisir le bon moment pour démarrer un traitement esthétique :

Il est préférable d’attendre quelques mois après la fin de toute lésion active avant d’envisager de démarrer le traitement car la peau se régénère et certaines lésions ont tendance à s’estomper au fil des mois. Ce délai doit être respecté avec l’isotrétinoïne car si les cicatrices sont soignées juste après l’arrêt du traitement l’acné pourra réapparaître. Le  médecin prescrit alors un traitement d’entretien à base de vitamine A acide dans le but de blanchir l’acné, d’effacer les marques et d’empêcher la réapparition des comédons et des microkystes. Le traitement doit obligatoirement se faire en hiver car la plupart des traitements notamment le laser exigent d’éviter l’exposition au soleil.

Le traitement des cicatrices pigmentaires de l’acné :

Les cicatrices pigmentaires sont caractérisées par leurs pigmentations. Elles se présentent sous deux formes :

Les tâches rouges qui sont fréquentes sur les peaux claires, elles peuvent être atténuées en utilisant un laser vasculaire qui a un effet de coagulation en diffusant la chaleur.

Si les tâches sont intenses, elles peuvent être gommées à travers le laser pigmentaire qui détruit les pigments.

Quant aux tâches brunes auxquelles les peaux foncées y sont sujettes, seuls les soins topiques sont efficaces, dans ce cas le médecin prescrit une crème dépigmentaire à base de vitamine C ou une préparation à base d’hydroquinone associée à de la vitamine A acide.

Le traitement des cicatrices irrégulières de l’acné :

Ce type de cicatrice donne à la peau une surface irrégulière. Les cicatrices peuvent être en creux et former de petits cratères à la surface de la peau. Si elles sont sous forme de pic à glace, elles peuvent être estompées grâce à la chirurgie de relèvement et si elles sont sous forme de U, ces lésions peuvent être gommées à travers le laser fractionné de type Erbium, CO2 ablatif ou non ablatif.

Dans le cas où les cicatrices sont en relief, elles forment des irrégularités de surface, si elles sont sous forme de cordons le laser ablatif CO2 devient nécessaire pour atténuer ces reliefs mais si elles sont de forme boursouflures c’est-à-dire dures, le médecin injecte d’abord de la cortisone pour les affaisser, puis les inciser et ensuite il pourra effectuer des séances de laser ablatif.

Après s’être décidé sur l’intervention, une consultation avec le médecin anesthésiste est essentielle et cela afin d’établir la prise en charge anesthésique optimale en rapport avec le type de chirurgie, le choix du chirurgien et de l’état de santé du patient.

Le rôle de l’anesthésie en chirurgie :

L’objectif premier de l’anesthésie est de supprimer la sensation de douleur. Les produits anesthésiants permettent de supprimer la douleur et de lutter contre le choc opératoire que cause l’intervention et donc de faciliter le travail du chirurgien par un relâchement musculaire total.
En outre, les produits d’anesthésie peuvent s’injecter dans le sang ou les tissus ou s’appliquer sur la peau, ils pénètrent dans le corps et mettent plusieurs heures pour être évacués. De ce fait le rôle du médecin anesthésiste est primordial vu qu’il est le seul à connaitre l’effet de ces produits et les réactions qu’ils peuvent émettre. L’anesthésie est donc bénéfique aussi bien pour le chirurgien que pour le patient dont la sécurité est primordiale.

L’importance de la consultation avec le médecin anesthésiste :

Le médecin anesthésiste établira un dossier dans lequel il notera l’état civil du patient, la date et le type d’intervention avec les antécédents médicaux et chirurgicaux, les allergies, les addictions concernant le tabac, l’alcool, les stupéfiants ainsi que les traitements médicaux en cours. En cas de doute, le médecin pourra lui prescrire d’autres examens comme l’électrocardiogramme par exemple. Grâce à ce dossier le médecin pourra alors doser les produits. Si dans le cas où il n’y’a aucune contre-indication à l’intervention le chirurgien et le médecin anesthésiste choisiront l’une de ces quatre anesthésies qui conviendra le mieux au patient.

Les types de l’anesthésie :

•L’anesthésie locale : Dans ce type d’intervention le patient n’est pasendormi, l’acte qui nécessite cette intervention est peu important. Techniquement il consiste à insensibiliser la zone à opérer soit en injectant un produit soit en l’appliquant sur la peau.
Ses effets durent entre deux et trois heures à peu près.
•La neuroleptanalgésie pour la chirurgie esthétique : C’est l’anesthésie la plus confortable et aujourd’hui de nombreux actes chirurgicaux sont réalisés sous neuroleptanalgésie comme la blépharoplastie. Le but de cette anesthésie est d’obtenir un état de somnolence sans perdre conscience.
• L’anesthésie locorégionale : Cette anesthésie n’insensibilise que la partie de l’organisme qui va être opérée. Il s’agit de la péridurale qui vise à insensibiliser la partie inférieure du corps sans perte de conscience.
• L’anesthésie générale : C’est un ensemble de techniques permettant un état comparable au sommeil en supprimant ou en atténuant la douleur lors de l’acte chirurgical et esthétique, celle-ci est réalisée par l’injection de médicaments par voie intraveineuse et par la respiration de vapeurs anesthésiques.
Enfin le rôle de l’anesthésiste est d’une grande importance notamment dans la chirurgie réparatrice car celui-ci prend en charge le patient qui n’est pas malade en veillant à ce qu’il ne ressente aucune douleur et aucun stresse avant, pendant et après l’intervention.

Avoir des oreilles décollées représente un handicap pour certains d’où le recours à une intervention chirurgicale appelée « otoplastie » devient alors nécessaire pour remodeler les pavillons jugés excessivement visibles. Cette intervention peut concerner les deux oreilles ou une seule oreille, elle est réalisée à partir de l’âge de sept ans dès que l’enfant en ressent le besoin.

Les différents types de l’otoplastie :

On peut distinguer trois types :
– Le valgus de conque qui est présenté sous une angulation trop importante entre le pavillon de l’oreille et le crâne d’où l’existence de ce décollement.
– La taille excessive du cartilage de la conque qui projette l’oreille vers l’avant : L’hypertrophie de la conque.
– Un défaut de plicature des reliefs du cartilage qui fait que le pavillon de l’oreille a un aspect trop lisse.

Avant l’intervention :

Comme toute intervention, elle nécessite un bilan sanguin préopératoire prescrit par le chirurgien qu’il faudra ramener le jour de l’intervention. Par ailleurs, aucun médicament contenant de l’aspirine ne devra être pris un mois avant de se faire opérer sans oublier que le tabac doit aussi être arrêté un mois avant. La consultation préopératoire avec le chirurgien et le médecin anesthésiste est obligatoire.

L’intervention :

Il existe trois types d’anesthésie pour cette intervention : L’anesthésie locale pure où un produit analgésique est injecté, l’anesthésie locale approfondie réalisée à travers des tranquillisants par voie intra-veineuse et l’anesthésie générale dans laquelle le patient dort complètement. Les incisions sont situées dans le sillon rétro-auriculaire, dans le pli naturel derrière l’oreille, il peut aussi avoir dans certains cas des incisions complémentaires à la face antérieure du pavillon et dissimulées dans les replis naturels.

Après l’intervention :

Les douleurs sont supportables et atténuées par des antalgiques prescrits par le chirurgien. Le gros pansement sera ôté entre le deuxième et le cinquième jour après l’intervention et sera remplacé par un autre bondage plus léger. Un bandeau de contention et de protection devra être porté jour et nuit pendant une quinzaine de jours puis uniquement la nuit pendant quelques semaines. En outre, toute activité physique ou sportive devra être arrêtée sans oublier qu’il faudra éviter l’exposition au froid pendant deux mois compte tenu du risque de gelures du fait de la diminution transitoire de la sensibilité des oreilles. Le résultat final ne sera apprécié qu’après deux à quatre mois de l’intervention.